J’ai passé les trois premiers jours de ma semaine à voir venir le jeudi, début de mon week-end allongé, pour finalement arriver au seuil de mon vide habituel, rien, il n’y a rien, tant de choses écrire et pourtant, non, il n’y a rien devant.
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J’aimerais ne plus avoir à vivre entre les impressions périphériques qui s’écoulent, contre les vitres d’un train ou ailleurs, latérales, permanentes, interminables. Passer mon temps à subir ces impressions, à les émettre parfois moi-même, (...)