Le gars tout contre, la tête pressée contre la vitre, lit (mais debout) un livre en papier dont le titre, je l’attrape, est Robots and falling hearts. Je reviens de mon premier jour chez STAT, des robots j’en ai vus, sauf qu’ici on ne les appelle pas « robots » mais « automates haut de gamme » ou « androïdes dernier cri » ou bien « cybermen de prestige ». Ma théorie les concernant ? Ce serait des clones. Des expériences quelconques. Des corps désincarnés. Et pour les fallen hearts ? Je (…)