Il y a quelques années je cherchais où, dans Paris, pouvoir trouver le silence. Peut-être était-ce ici depuis le début, dans cette chambre au septième où A. m’accueille, chambre où par ailleurs un précédent locataire informel me laisse un petit mot bien que nous ne nous soyons jamais vus auparavant. Ou peut-être que non, que le silence que j’y trouve n’est que le silence de la nuit encore un peu épaisse, vu que je me réveille à cinq heures du matin et alors all nature is appalled — heaven (...)