J’ai toujours écrit sur la mort, pour les morts. Pour une fois, je voulais écrire un livre sur la vie. Ou sur la mort qui est la continuité de la vie. Sur les morts qui cohabitent avec la vie. Parce que c’est cela, les saisons. Les morts, ou les disparitions successives qui laissent la place à d’autres vies, mais qui un jour font retour.
Ryoko Sekiguchi, Nagori, P.O.L
Le Pantoprazole donne mal à la tête (n’en pas prendre donc). Le froid menace de fendre. Le bruit des chouettes fait (...)