Jamais je n’ai vaqué à une occupation en position assise. C’est sûrement l’autre, pas moi, l’autre qui se tient caché dans ma tête, le guetteur du pigeonnier qui, en me créant, veut du même coup m’anéantir, l’oeuvre d’art est le masque mortuaire du délit, l’ai-je entendu marmonner puis éclater de rire, il est obsédé par l’idée que quelqu’un traverse le deuxième mouvement du quatuor de Schubert, quelqu’un, peut-être la mort, qui passe dans l’andante, qui sifflote, et - tenez, de nouveau une (...)