L’autre jour on m’a vu sur une photo à Los Angeles, là c’est à la télé un meeting de Mélenchon. C’est comme Carrières de sable mais à l’envers : c’est de l’ubiquité subie et inconsciente. Le froid, c’est une main qui t’attrape à la cheville. Des invisibles font des travaux dans l’immeuble alors ça sent le métal dans quoi on a foré ou bien qu’on a tordu ou effrité pour ce que j’en sais. Le soir : 799 mots (Pēteris Vasks).