Il m’est arrivé quelque chose d’assez extraordinaire. Je n’ai pas eu à faire grand-chose. Juste à lire un livre. En l’occcurence, The Master of Ballantrae. Jignorais tout de ce livre, son existence, et qu’il était chef-d’œuvre de Stevenson. J’ai récupéré une édition numérique de ses œuvres complètes (9000 « pages », soit une vingtaine de méga) et j’ai commencé à le lire non seulement sans rien savoir de lui, mais qui plus est sans avoir idée de son volume. Comme nous étions dans des œuvres (...)