On ne pense pas assez à la minuscule caroline. J’aime bien ce genre de mots : ajar, awkward, askew. Nous pourrions faire de nos textes des œuvres éphémères. Des stories qui se lisent. Je pense à 10kb.site : un site épuré à l’extrême qui permet d’uploader un texte sur une page minimaliste (c’est un fichier .txt) et périssable par dessus le marché (les pages ne restent en ligne que 24 h). Si T. s’en rappelle, nous avions évoqué la chose dans nos échanges il y a mille ans sans jamais passer à l’acte. Malheureusement le script engendre des textes non encodés UTF-8 alors tous les caractères accentués sont altérés. Que faire ? Il y a peu, j’en étais à me résoudre à ne plus acheter de nouveautés. Et puis le désir de livre est revenu, comprendre le désir de consommation. À quoi tient-il ? Pour l’un, l’auteur dit s’en remettre à des pratiques d’écriture que je partage. Un autre, j’en aurais « besoin » pour continuer à me documenter pour Biopic. Un autre, nous avons échangé sur les réseaux il y a peu. Un autre encore, la photo sur la couverture m’a touché. De sorte que, bon, le désir...