Ces jours-ci réglés comme du papier à musique. Lundi-mardi-mercredi boulot. Jeudi-vendredi-dimanche écrire, écrire beaucoup, suivre sec les prévisions du matin, six heures par jour en règle générale. Dans les deux cas, je termine sur les coups de 17h30 ou 18h. Cette heure là comme une ligne jaune franchie : je n’ai plus rien à faire. Tout a été rempli. Tous les points de mon planning mental cochés un par un. Plus rien ne me presse. Le vide recouvre.
Écrire plusieurs heures de suite ça (...)