Si je fous le son si fort au coeur des foules souterraines, c’est pour savoir et réfléchir combien je suis tout seul.
On sait les corps bouclés imberbes en les touchant vec l’oeil. Celui-là, en travers de la branche : la marque de ses lunettes de vue.
On marche sur des code-barres collés sous chacune des deux semelles de nos pompes.
On fume à ciel ouvert des nuages de shit gris.
J’ignore pourquoi, mais on veut faire mon portrait pour promouvoir quelque chose. J’hésite entre ne pas (...)