Nous sommes le vingt-deux août deux mille vingt-quatre et la majorité des textes de Grieg, disjoints, ne sont pas finis. Mais pour quoi faire finir ? Finir, c’est tuer ce qu’on se dit. Ce n’est pas comme ça que je deviendrais un immense écrivain, puisque quelqu’un a encore usé de la formule ce matin, sur les réseaux sociaux. Et quelque part c’est logique : il doit falloir être un immense écrivain pour écrire de grands romans. Rien à voir, donc, avec Dinomir le géant, auquel je pense pourant, (…)