Ici ou ailleurs, je ne fais que retranscrire des phrases. L’une d’entre elles au matin est : tout ce que j’aime, c’est l’espace et l’autre : partout, il y a la guerre. La première n’est qu’un succédané d’un slogan publicitaire des années quatre-vingt-dix (et si le véritable luxe, c’était l’espace), la seconde le début d’un poème que j’ai écrit il y a des ans dans Mondeling premier du nom. Une troisième s’en vient, qui n’est que bon sens : le carrelage est froid pour qui a des pieds. Le (...)