Le Transoxiane quatre : c’est pas le chapitre 17 qu’il faut revoir, c’est toute l’économie narrative de la fin. C’est l’intensité dramatique des choses. C’est la courbe et le rythme et la courbe. En réalité, il faudrait sans doute remonter un peu la moitié consacrée à Misère en supprimant l’un de ses chapitres pour permettre de mieux faire coïncider les intrigues parallèles, relier le récit général aux ouï-dire et traiter le personnage de Misère Balkaï, oui, comme un super-héros.

Couru dans la poussière 27min, 4km, sous le Repeating History for Piano. Quant aux Morphine compilés pour lecture dense, la réflexion se poursuit, souterraine. La solution, ce serait peut-être de proposer deux versions, l’une longue, respectant les vers justifiés d’origine, sans coupe aucune (hormis peut-être quelques ajustements type & > et) et l’autre, courte, qui s’autoriserait la coupe, la suppression de phrases, l’assèchement (pas d’ajout en revanche).