Tout le monde a l’air très occupé, partout. Les gens s’affairent. Ils poussent leur pierre le long d’une côte plus ou moins inclinée, et d’autres les regardent faire. Ils attendent. Lesquels ? Ceux qui poussent ou ceux qui regardent ? Ceux qui sont poussés qui sait. En réalité, tout le monde attend qu’il se passe quelque chose, et quand il se passe effectivement quelque chose, ils disent : merde, c’est affreux. Ou alors, non, ils ne le disent pas, ils se contentent de le penser, et parfois (...)