Deux illuminations : 1) pour prétendre au ballon d’or, il faut marquer des buts. Tous ceux qui servent aux rouages antérieurs à la concrétisation de ce sport (les défenseurs, les relayeurs, les sentinelles, les pistons, les box-to-box, les regista) sont quantité négligeable. Ne parlons pas des gardiens que l’air du temps veut voir principalement muscler leur jeu au pied. De sorte qu’on pourrait le formuler ainsi : ceux qui doivent être mis en valeur sont ceux qui ont déjà le plus de visibilité sur le terrain (il y a sans doute des rapprochements à faire avec le monde de la culture) et 2) pour réaliser mon prototype d’outil de lecture web en cascade, il faut moins lorgner sur un système de like type réseau social qu’opter au fond pour un grand formulaire en temps réel ajaxé ¹. Au fond, chaque fois que je lis un jugement esthétique personnel, quel qu’en soit le domaine, j’entends moi, ce que j’aime, c’est ce que j’aime, et si tout le monde pouvait l’aimer comme moi je l’aime le monde s’en porterait bien mieux. Il me semble avoir fait un rêve haletant dont je n’ai plus souvenir. Chaque fois qu’on me demande de quoi parle Biopic je me retrouve à raconter l’histoire de Bucky Cahuzac, qui n’a rien à voir avec Biopic. Je ne sais pas de quoi je me protège. Le soir, y travaillant précisément, Standard Notes n’arrêtant pas de créer des doublons de chaque scène sans raison, j’en viens à me demander si je ne suis pas à mon tour une conflicted copy de moi-même.