J’ai plus besoin de coller ne serait-ce qu’un oeil sur le mode d’emploi de la cravate pour correctement me l’accrocher au cou : c’est un signe. Un sale signe. C’est déjà la troisième fois en une semaine que je me pointe au pied du même immeuble pour un autre entretien censé être le dernier, toujours dans la même pièce et je fatigue. La personne à l’accueil connaît d’avance mon nom. J’écris, j’écris, j’écris dans ma têtes quelques idées muettes. J’attends que le DG se pointe et je me (...)