Je pense aux mots capillaires, faisceau, filament. Le journal n’est plus ce qu’il était, c’est normal : il est vivant. Des courants de langue l’irriguent. D’un mois, d’une semaine ou d’une année sur l’autre je n’y suis pas la même personne, ce qui pourrait à la fois se résumer par je me fourvoie et j’évolue. Il y a peu le mot disjonction n’arrêtait pas de me revenir en tête. Et divers dérivés. Les réseaux sociaux, c’est le lieu hors des lieux où tu te parles tout seul ; quelque part c’est (...)