Je fais des quatrièmes. Je relis des épreuves. J’annote sur le pdf. Je prends un rendez-vous pour demain. Je rentre des métadonnées. Je vais chercher des couleurs dans le code et puis non, je me ravise. À un moment donné, j’écris ce journal. Je le réécris. Je crache des nuages de fumée quand il s’agit de sortir aller poster des trucs (trois). J’attends que le sablier du thé coule, ait coulé. J’écris 826 mots d’Eff, comme ça, d’une traite. J’ouvre un nouveau petit flacon d’huiles essentielles (lavande). Je réponds à quelqu’un par texto et l’échange dure jusqu’à ce que je l’oublie pendant trois heures. J’ai froid. Un quart des français préféreraient passer la soirée de la Saint Valentin avec leur animal de compagnie. J’ai plusieurs versions d’un même document disseminées dans plusieurs zones de l’écran sans raison. Je cherche un certain temps le bouton répondre à tous, il était passé où ? Un arbitrage partial (ou raté) pour le Real - PSG (3-1) de ce soir. Voilà. Ça fait partie des trucs que je fais. Leçon de vie : les choses passent.