Je suis étudiant dans une université qui n’est pas celle que je fréquentais quand j’étais étudiant. À la BU, département littératures anglaises (c’est une espèce de boule en métal, c’est un observatoire) je traque l’édition Gabler d’Ulysses. Tout ce que je trouve, c’est une machine à écrire en état de fonctionnement, laquelle est accompagnée d’une note manuscrite où il est écrit l’incipit du roman. C’est ça le vrai Ulysse : c’est à écrire toi-même.
Dans la vie véritable, j’ai de la toux (...)