Je ne me suis pas encore habitué à mon nouveau rythme (c’est à dire non-rythme) d’inactif. Même déconnecté moins dix, mon réveil sonne toujours mentalement sur le coup des 6h34 et sur le coup des 6h34 je me tourne vers lui pour lire l’heure en rouge sur noir. Ma première pensée du matin va à ces jours que j’aurais pu vivre avec des si ou en partant du principe que. Puis généralement je me rendors.
Plus tard, mêmes pensées parallèles, horaires différents. Les jours de la semaine se (...)