Fallait-il s’étonner si son cœur agité s’arrêtait de battre ou s’emballait lorsqu’il contemplait son cadeau et se mettait à tout récapituler et repenser, adossé à ce banc rustique, les bras croisés, la tête penchée vers l’épaule, face au murmure du torrent et aux ancolies bleues en fleur ?
Thomas Mann, La Montagne magique, Fayard, traduction Claire de Oliveira
C’est fini. Une dernière traversée du quartier, [illisible] sur le GPS, vers la gare d’ Ikebukuro, un dernier aller simple par (...)