Je n’ai absolument aucun souvenir de ce que j’ai voté pour le référendum sur le Traité Constitutionnel Européen de 2005. Je ne revois que des gens tractant devant la fac quand j’arrivais matin. Je sais que j’ai voté, que ce n’était pas mon premier vote, mais ce que j’ai mis dans l’enveloppe, non. Je sais faire d’autres choses. Déposer une araignée dehors pour qu’elle ne finisse pas noyée dans la douche ✔️. Déplacer un escargot pour qu’il ne se fasse pas rouler dessus par un vélo sur la (...)

Ça y est, les jours commencent à raccourcir. Il va falloir que je récuse le mot open-bar. Écrire trois choses différentes (le journal n’est pas l’une de ces choses), tout en pensant à une quatrième, le tout avec un pain de glace en équilibre sur la tête est un bon exercice pour un shonen d’écriture. Dans le rêve, Tanjiro Kamado était incarné par Luis Campos, que j’appelais par erreur Jorge Campos, du nom du gardien de l’équipe nationale du Mexique dans les années quatre-vingt-dix, lequel (...)

L’un de mes folders s’appelle foreign. Il arrive que je m’en serve. L’auto-école que je contacte dans l’optique d’y passer mon permis de conduire me répond que pour ce faire elle a besoin d’une copie recto-verso de mon permis de conduire. Quand soudain : je pars d’un pas résolu jusqu’à la cuisine pour peser mon wok. Il ne pèse pas 1,4 kg comme je l’avais estimé à la louche mais pas loin de deux fois moins. Satisfait de cette pesée je remonte, et je m’empresse d’écrire cette phrase debout (...)

J’ai raté France - Brésil en volley mais pas la Super Planche des Belles Filles en vélo. Voilà ce que l’on apprend : la Ligue nationale de volley souhaiterait intégrer la sélection nationale de Chine dans le championnat de France contre 1,3M par saison. « Cette équipe participerait au Championnat sans pouvoir remporter le titre ni descendre en Ligue B. Mais elle ne vient pas pour enfiler des perles », a assuré le président de la LNV. Pendant ce temps, Lance Armstrong pointe du doigt sur (...)

Pour échapper momentanément à la « plume de chaleur » (sic), il faut être à neuf heures aux étangs d’Apigné et on l’est. Mais dès neuf heures et demie, c’en est déjà fini de notre crédit fraîcheur. Cela fait aujourd’hui un an que Philippe nous a quittés. Bientôt, mais je ne sais plus très bien quel jour (quelque part entre le 15 juillet et le 9 août), cela fera vingt ans que nous sommes ensemble, avec H., lequel H. me demande à présent si j’ai besoin de quelque chose au U, et à qui je (...)