Si je suis allé ce matin courir à l’envers du sens habituel autour du Lac Daumesnil (ce qui est en soi contre nature), c’est probablement dû à ma lecture de Saint-Germain en Laye, d’Anne Savelli, puisqu’aux pages 76-77, nous allons littéralement de l’autre côté du miroir et ça ne rigole plus. Ça ne rigole plus parce que les deux pages qui suivent sont absolument parfaites, notamment quand on s’enfonce plus avant dans la forêt (lieu du conte par excellence) :
Devant eux, les arbres (...)