Sorti de cette situation inextricable où j’avais dû co-écrire un interminable essai sur l’art avec mon propre double, où nous nous étions brouillés puis vertement opposés, puis après qu’il m’avait menacé, fait tomber dans une sorte de guet-apens universitaire puis m’avait retrouvé, las, fatigué, chez moi, c’est-à-dire pas chez moi, où il avait décidé de m’éliminer purement et simplement du tableau pour récolter tous les lauriers du livre, j’avais fini par abandonner toute résistance, je (...)