Je connais cette chanson. Et toi par coeur. Je connais tout mais sans les mots. Les mots, ceux qui reviennent en tête. La tête intempestive. Toujours que les faux mots faux les plus faux. Synthétiques. Gonflés de sons nouveaux décomposés. Bouffés. Je n’ai pas attendu. Pas entendu cette chanson. Ces paroles et ces mots dans la chambre avec l’autre au moment de défaire les sutures. Mentales les miennes. Il a défait avec les doigts les fils de cuivre en jean. C’était pas un scalpel c’était (...)