Commencé un nouveau traitement dimanche qui s’appelle Nocertone. Mais depuis rien pour la douleur elle-même, c’est un compagnon silencieux. Silencieux mais présent comme un doigt sur la tempe. Beaucoup de tableaux Excel, et pas toujours les mêmes, et ensuite des contrats à signer que je signe. C’est électronique. Je cherche des choses à écouter le long, il n’y a rien. Un temps interminable à recopier dans de l’écran les 1027 mots d’avant-hier manuscrits. Et ceux d’hier derrière, combien ? (...)