e lis en décalé, en retard, des lignes imprimées il y a déjà quelques mois et sur lesquelles j’aurais dû sauter dès le début. Le fait est que ça n’a aucune importance après cette journée pénible qui se termine : mon MP3 qui rend l’âme le seul jour où je ne pense pas à emporter de livre avec moi pour occuper mes heures de trains froids. Simplement le Matricule des anges N°98 et son dossier sur Rodrigo Fresán. Je me force à ne pas tout lire d’un coup à l’aller, qu’il m’en reste aussi un peu (...)