Christian Thorel semble considérer les auteurs comme des SDF du livre qu’il faut héberger dans la chaleureuse maison de la chaîne de lui (librairie, diffuseur, distributeur, éditeur). Antoine Gallimard se sent dégradé et mal considéré quand on vient émettre des réserves sur l’exploitation des auteurs par celles et ceux qui leur mettent des chaînes. Somme toute, rien ne change réellement et ceux qui vivent de la littérature passent leur temps à choisir les règles du jeu régissant la vie (...)