Serais prêt à payer un certain prix pour un écran de substitution au Mac qui serait 100% eink. Ainsi pouvoir travailler sans redouter le crâne. Tu vois, juste le web et traitement de texte. Besoin de rien d’autre.
mondeling : les fragments celle (de 1387 à 1003 mots), le temps (de 220 à 120 mots), les temps mythologiques (de 837 à 553 mots) et ouvrez le chien (303 mots).
Des relectures automatiques. Réécris, coupe plus facilement que la semaine dernière. Peut-être c’est dû à l’humeur, (...)

Il est midi, les mondeling du jour ont été réécrits plus facilement que ceux de la semaine passée (l’humeur). Corrections opérées comme suit : cher 石 (1030 à 745 mots), a-dieu (289 à 248 mots), la carcasse (436 à 79 mots), entretien préalable (3156 à 2267 mots), tout est oublié (927 à 830 mots), mode d’emploi (817 à 367 mots) et le tamis (744 à 721 mots). Vingt-deux fragments en tout. Monterai jusqu’à vingt-sept, avant peut-être redescendre à vingt-quatre.
15h, reprise. Agréablement (...)

mondeling suite et fin. Relecture intégrale de trois heures. Remplacé le fragment ce que la télé a à nous dire (zapping) par le silence : au propre comme au figuré c’est mieux. Le fichier JN2 pesait 32 573 mots ; ce mondeling4 en pèse 21 086 ; objectif atteint.
Découvre le journal de Laurent Herrou publié chez Christophe Grossi : ça s’appelle Avant.
En relisant mondeling me suis rendu compte avoir subi l’influence de Seb Ménard dans le rythme des phrases. Bonne surprise. L’envoie enfin (...)

Fact : on me dit de façon détournée que je fais des fichiers dégueulasses.
Mail de Christine qui a lu mondeling et qui kiffe. Grande joie de lire relire son mail car comme je lui écris en réponse je savais pas du tout où j’allais avec ça. Alors content qu’elle pense que ouais ça tient debout ce truc.
1g de paracétamol préventif. L’ostéo me l’a bien dit jeudi : le corps mettra quinze jours à se recomposer. Vraie peur qu’au bout de ces quinze jours, les douleurs se recomposent avec le (...)

Les jours s’empiètent les uns les autres et j’ai de moins en moins à dire, ici, dans le journal : pourrais le laisser vierge, blanc, si j’avais pas Mueller, qui approche de son terme. Concernant mondeling, @cjeanney me suggère de recomposer les fragments la dernière heure du jour et le tatouage en bloc sans les sauts de ligne. Le fais pour test mais pas trop le temps de relire pour voir ce que c’est que ça donne. Répète encore quelque part sans mot dire les mots j’ai pas le temps.
Ce (...)

Repos. Aucun bruit sous l’autre folle du six. Peut-être qu’elle est crevée je sais pas.
Les lectures du moment sont numériques, web, publiées dans des revues en ligne ou pas, accessibles sur abonnement ou pas. Le seul truc qui compte, c’est que le truc te chope, voilà.
Alors c’est la série les villes nombres de Mahigan Lepage, c’est le feuilleton La chambre de Rogojine, par Hélène Sturm, qui s’ouvre dans la revue Hors Sol, c’est ce texte très étonnant de Fabien Claouette sur Nerval.fr, (...)

Twitter m’apprend qu’on est le 16 juin, aujourd’hui le Bloomsday.
Ulysse, justement, en parle à Lionel Maurel a.k.a @Calimaq : moment venu de choisir une licence pour remplacer le triste copyright tout au fond du pied de page. Hésite entre CC-BY, CC-BY-SA et CC0. Après notre petit chat, opte pour CC-BY-SA, ça veut dire : autorise le partage, remix et l’utilisation commerciale de mon truc, à condition qu’on me cite comme auteur (pas si facile que ça de s’effacer quand même) et que (...)

Reprendre un 17h34 niqué par la mémoire machine, à une semaine de distance du geste initial, c’est pas vraiment tricher, c’est autre chose, c’est recréer les conditions initiale de l’acte : la vue : la photo. Hier, c’était capter l’heure digitale sur l’écran. Du coup, un autre 17h34 s’est plaqué par dessus et les deux se mélangent : le premier, censé mimer l’image initiale du 10 juin et le second, une photo de la falsification en train de se faire (en langage courant, cela signifie (...)

les poèmes sont des fringues portées dedans
Libre traduction d’un facebook-haïku de Seb Doubinsky
J’essaie comprendre ce qui défile dessous nos briques. Je crois pas que c’est la gay pride : c’est des camions industriels qui crachent des corps qui crachent du son.
Conseils de Christine sur mondeling : je suis : couperai aucun des trois fragments que je pensais couper. Le dernier chiffre ce sera vingt-quatre. Vingt-quatre photos pour vingt-quatre textes foutus dessous. Relis une (...)

Je sais plus où j’ai lu entendu on m’a dit qu’une impression de déjà-vu, en réalité, c’était une crise d’épilepsie en miniature. J’en ai une en lisant, sur Nerval, un texte appelé Shanghai Zen. Voilà ce qu’elle raconte cette crise : j’ai déjà lu ce texte et, lisant, me souviens m’être déjà plongé dans les croquis qui étaient des croquis dits liquides, c’est-à-dire qu’on pouvait juste plonger à l’intérieur se perdre. J’ai déjà tenu cette sensation entre mes mains, j’ai déjà cherché dans les (...)