« Ce que je vois par ma fenêtre », c’est le nom de ce rêve. Colline, des maisons empilées, éolienne blanche sur chacun de leur toit. Ce qu’il faut ici écrire sur cette nuit, c’est que je suis hanté par une phrase de Marie qui revient très souvent : une interrogation, exemple de toutes les interrogations, sauf que je l’ai toujours mal lue cette phrase, j’ai toujours gardé en moi une autre phrase complètement différente, pourtant seule un petit bout d’une lettre change : une interrogation (...)