J’essaye de me souvenir ce qui, dans cette ville où je suis aujourd’hui, se joue dans Eff, censé s’y dérouler. Mais j’ai presque tout oublié de ce texte. Le long du port de commerce, le vent se lève. La mer est proche et sue, je veux dire devinée, mais jamais on ne la verra de l’autre côté des formes industrielles. Il y a des moutons de Ouessant à Océanopolis mais moi je n’y suis pas. Dans la grande librairie dominante qu’on trouve en centre-ville, il y a autant de livres d’Antoine (...)