Dans « L’oreille aux portes », documentaire radio sur un compositeur en quête de son(s) dans un hôpital, Nicolas Frize explique qu’une des raisons pour laquelle la musique contemporaine angoisse le grand public, c’est qu’elle est associée par lui à des scènes bien particulières, notamment au cinéma. En l’occurrence, dans des films d’horreur. Et effectivement qui n’a jamais entendu, pendant une scène où il est nécessaire d’accroître par tous les moyens la tension (aussi bien la tension (...)