Des giboulées, du vent. Une phrase : mais aujourd’hui tous ces gens-là sont morts, évidemment. Deux verres de vin blanc gris.
Mais le plus intéressant, finalement, chez Juan Benet, ou, tout du moins, dans son livre Les lances rouillées, ce ne sont pas les chroniques militaires ni les cartographies, ce sont les quelques pages sur l’ennui au creux de la guerre, la lecture de Proust, les grenouilles en papier, les compte-rendus d’un vieux combat de lutte raconté par un homme qu’on appelle (...)