Levé à cinq heures mais réveillé à deux, puis quatre. C’est la première fois que je prends la voiture seul, et si je mets le GPS au cas où, je ne l’écoute pas ni ne le regarde. Il n’y a pas beaucoup de circulation. Le jour n’y est pas mais moi si. Dans le train mes cookies préparés hier sont trop cuits et, une fois à Montparnasse, mécaniquement je pars prendre la six pour aller vers Nation (or non). Je suis au bureau à 9 h, à temps pour me demander, au fond, qu’est-ce que je fous là (...)