Ce n’est pas parce que je le lis avec intérêt les travaux de Sophie Divry ou certaines interviews de Kenneth Goldsmith que je n’ai pas de distance critique avec les sujets qu’ils abordent. C’est précisément le but de la manœuvre : chacun peut se construire sa propre théorie du roman. Je parle du roman à dessein car, ici, c’est lui qui m’intéresse. Quand Kenneth Goldsmith parle de la mort du roman à la parution de Finnegan’s Wake, c’est (aussi) une pirouette. Mais difficile de lui contester (...)