Voilà ce que je me retrouve à dire à voix haute : les gens ne veulent pas de solutions, ils veulent des problèmes. Le tout en pensant à autre chose. Il faut imaginer ça dans un décor minimaliste (avec arbres), dans un tissu de bruits aléatoires, et sur le ton d’un sketch de Chevalier et Laspalès (qui est l’un qui est l’autre, je ne sais). Nos vies ressemblent-elles à ça ? J’ai envie de dire : il faut arrêter de (se) poser des questions. Il faut arrêter de dire des trucs comme j’ai envie de (...)