Gare de C., entre deux bombes
Les jours raccourcissent. J’en suis au stade de la fiction mentale : ces idées que je disperse, sur le papier dans ma tête, puisque jamais écrites ne sont jamais gâchées. Je me retiens de tout écrire, de commencer le sacrifice. Et tout est beau, tout est vrai, tout est brillant tant que rien n’est posé, encore moins dit. Mon odyssée cosmique, « vies // », n’a toujours pas de titre. Pour ces mêmes raisons ça me soulage, mais, fatalement, du coup, je ne peux (...)