Le train à 6h58. Dans la rame ce que je lis ne s’appelle pas La voix itinérante mais Il y a quelqu’un ? via le site-revue Nerval. Corne cette phrase :
Après tout, n’avons-nous pas pour origine le même drame, celui d’avoir été propulsé d’un utérus dégueulasse, et la tête la première en plus, dans ce monde où dès les premières secondes nous n’avons su que hurler et pleurer, comme si naître était là le début d’une longue torture ?
Elle me ramène encore à l’Adam Kadmon aperçu dans l’Ulysse (...)