Si j’ai dormi une douzaine d’heures, c’est bien que je devais (ou bien que quelqu’un ou quelque chose en moi devait) en avoir besoin. Je trouve dans Trois fois la fin du monde une bien curieuse façon de se shooter aux opiacés : Il écrase des comprimés de Lamaline, mélange ça avec de la noix muscade et me permet d’en sniffer des rails. Le numéro deux de Dopamine est sorti. Dans le premier numéro on trouvait cet autre cocktail : Je cueille ici ou là une ou deux baies sauvages, je cuisine deux (…)