En marge du Journal des sens (mais réellement en marge : c’est à dire dans des coins de feuilles brouillon, à l’envers, entre les blancs et sous les titres), David Menear compose un autre pan aléatoire de son Journal général. Chaque matin il s’astreint à l’écriture de la phrase : la première apparue. Il l’écrit une fois, la fixe et n’y revient plus. Souvent prétexte à la « scarification des rêves », parfois incohérente, généralement sans ponctuation ni majuscule. Il tient journal chaque (...)