Tout Paris est dans cette image, dans ses contradictions. Ça n’a pas besoin d’être un grand panorama ni une photo prise en seize neuvième, un Polaroïd suffirait. C’est un bistrot où on se dit de façon inopinée voyons-nous, et on le fait, et on marche une petite demi-heure et on est là, c’est convivial. C’est en terrasse, mais c’est sur un trottoir qui donne sur une grande avenue, dans le bruit des circulations. C’est dehors mais sous des arbres mâles allergisant. C’est deux tables pour (...)