Dans un roman sur un lieu qui n’est pas même un lieu précis mais un espace général (les centrales nucléaires dans leur ensemble), lieu justement où macro et micro tendent à se confondrent (fission de l’atome VS temps long de la nocivité des déchets nucléaires ; partie basse du générateur de la taille d’une cabine Soyouz VS descente en accéléré dans l’infiniment petit de la matière à défaut d’un voyage dans l’infiniment grand), on ne parle pas des personnages. Je veux dire, dans ce livre (...)