Réveillé à 4 h du matin catastrophé à l’idée de travailler pour Spectre, où je perdrais une bonne partie de mon confort de vie, pas mal de valeurs, d’autant plus qu’au final compte tenu du ratio dépenses-gains je ne risque de ne pas tant m’en sortir que ça financièrement. Le problème, c’est que la nuit n’est que caisse de résonance aux angoisses. Que tout elle peint en noir. Qu’on ne peut pas se fier à elle. Ou pas entièrement à elle. Quoi qu’il arrive, je ne perds rien à me rendre (...)