Rare qu’on lise comme ça le manuscrit d’un inconnu aussi enthousiasmant, de façon unanime, quelque chose d’inattendu et de personnel, de noir et de drôle, en langue, et derrière appeler la personne pour parler. Le téléphone il sonne. Michel m’a offert deux livres lors de notre rencontre fin janvier, l’un s’appelle roman (de Georges Cheimonas). Je le lis et d’une traite, c’est court. Ça pèse vingt pages. C’est d’une densité dingue. Tout est concentré là-dedans et bien que je lise tout, je (...)