Il y a un grand container en métal dans le local à poubelles de notre immeuble qui sert aux dons vestimentaires. C’est une forme de luxe. Ou bien, qui sait, c’est une forme de privatisation des dispositifs qui, dans un monde décent, seraient à portée de tous, par exemple dans l’espace public, et pas derrière un digicode. Là, je me débarasserai de trois sacs pleins après avoir fait du tri dans l’armoire pendant que quelqu’un dit, quelque part, que l’hypnose, ça aidait à atténuer la plainte (...)