Pas grand chose à dire sur cette journée. Un moment avec Joachim et Roxane vers Saint-Lazare. Les pollens, encore les pollens. Ils me sont bombardés. H. me file un médoc que j’avale sans même regarder ce que c’était. Je n’avais pas besoin du médoc, je lui dis après coup : les symptômes se sont arrêtés juste après que je l’ai pris. Quentin m’a envoyé son nouveau livre, La ville fond. Baptiste Morizot termine son livre 1 Les diplomates par la phrase suivante : le loup est un whistleblower à (...)