À trois heures du matin, les pensées sont de l’eau qui t’échappent. À peine les mots c’est ça qu’il faut faire venus, l’idée qui les sous-tend a, elle, disparu. Il ne reste plus que l’empreinte dans quoi elle s’est logée. Le temps en plus, c’est du temps en moins. Ce n’était pas ça le fond de ma pensée échappée. Ça, ce n’en est que la conséquence, ou disons le constat. À 3 h 50 je lis : Qu’il faille rester en vie, comme le prétendait la dérisoire sagesse des gens bien (...)