Plusieurs choses. Il se trouve que j’ai relu quelques pages de ce que j’ai momentanément écrit dans le courant de l’été, il y a donc environ six mois. Écrire ça, c’était une question d’hygiène : c’était pour s’empêcher de n’écrire pas. Comme souvent, j’ai laissé tomber ce que j’avais fait dans les limbes et je l’ai oublié. Bien sûr, l’écrivant, je m’imaginais aussi l’écrire, prolongeant donc le projet au-delà de ce qui était effectivement, jour après jour, composé, ne serait-ce que pour me (...)